Société
Le 24-12-2017 par B. Chalumeau
Bernard CHALUMEAU
Le 24-12-2017 par B. ChalumeauPRIÈRE :
« A mon fils… »
« A mon fils… »
Je t'ai donné la vie, tu es mon espérance.
J'ai voulu pour toi un pays fier et libre,
comme l'ont voulu mon père et le père de mon père,
et la mère de ta mère, comme toutes celles et tous ceux qui les ont précédés.
Ils reposent ici dans la terre de France.
Hommes et femmes de courage qui depuis tant de siècles ont travaillé le sol,
formé nos paysages.
Contre toutes les tempêtes ils ont construit le pays, bâti ton héritage.
Tu n'as pas connu comme eux la tyrannie, l'oppression et la peur.
Ils ont vécu dans leur chair comme dans leur âme
des souffrances infinies pour que nous vivions libres.
Honore les, remercie les comme je le fais moi même.
Du fond du temps monte vers nous l'immensité de leur espérance.
Elle n'a pas disparu avec eux, car elle se lève aujourd'hui,
forte, poignante, déchirante, rayonnante.
Elle vit au fond de nous pour nous rappeler de ne jamais oublier le chemin de la
liberté.
Que la liberté n'est jamais définitivement acquise.
Qu'elle est le fruit d'un perpétuel combat.
Cette oeuvre n'a été accomplie que pour toi,
pour qu'à ton tour tu la transmettes à ceux qui te viendront.
Ce pays est le tien. Combats pour le garder.
Défends le, sois en fier car il en vaut la peine!
N'admets jamais qu'il se soumette.
N'admets jamais qu'on souille quelque endroit du sanctuaire.
Dans la terre du pays bat le coeur de la France.
A toi de préserver cette façon de vivre, de croire, de travailler qui est la nôtre.
N'admets jamais, je te dis bien jamais, que soit commis le sacrilège suprême, que
quelqu'un d'autre que le peuple de France y fasse régner sa loi.
Car nous, tes aînés, nous ne pouvons imaginer pouvoir dormir en paix dans une terre qui ne soit pas la nôtre,
ni de te savoir vivre dans un pays qui ne soit pas le tien.
A ton tour, maintenant, d'aimer, protéger et transmettre,
ce qui constitue depuis toujours notre seule raison de vivre:
la FRANCE, notre pays!
J'ai voulu pour toi un pays fier et libre,
comme l'ont voulu mon père et le père de mon père,
et la mère de ta mère, comme toutes celles et tous ceux qui les ont précédés.
Ils reposent ici dans la terre de France.
Hommes et femmes de courage qui depuis tant de siècles ont travaillé le sol,
formé nos paysages.
Contre toutes les tempêtes ils ont construit le pays, bâti ton héritage.
Tu n'as pas connu comme eux la tyrannie, l'oppression et la peur.
Ils ont vécu dans leur chair comme dans leur âme
des souffrances infinies pour que nous vivions libres.
Honore les, remercie les comme je le fais moi même.
Du fond du temps monte vers nous l'immensité de leur espérance.
Elle n'a pas disparu avec eux, car elle se lève aujourd'hui,
forte, poignante, déchirante, rayonnante.
Elle vit au fond de nous pour nous rappeler de ne jamais oublier le chemin de la
liberté.
Que la liberté n'est jamais définitivement acquise.
Qu'elle est le fruit d'un perpétuel combat.
Cette oeuvre n'a été accomplie que pour toi,
pour qu'à ton tour tu la transmettes à ceux qui te viendront.
Ce pays est le tien. Combats pour le garder.
Défends le, sois en fier car il en vaut la peine!
N'admets jamais qu'il se soumette.
N'admets jamais qu'on souille quelque endroit du sanctuaire.
Dans la terre du pays bat le coeur de la France.
A toi de préserver cette façon de vivre, de croire, de travailler qui est la nôtre.
N'admets jamais, je te dis bien jamais, que soit commis le sacrilège suprême, que
quelqu'un d'autre que le peuple de France y fasse régner sa loi.
Car nous, tes aînés, nous ne pouvons imaginer pouvoir dormir en paix dans une terre qui ne soit pas la nôtre,
ni de te savoir vivre dans un pays qui ne soit pas le tien.
A ton tour, maintenant, d'aimer, protéger et transmettre,
ce qui constitue depuis toujours notre seule raison de vivre:
la FRANCE, notre pays!
Bernard CHALUMEAU
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