Environnement 
                  
		  			   
                  
		  	    Le 29-09-2015, traduit par B.Chalumeau Le moment est-il venu d'en finir avec la folie de gaspiller du temps et de l'argent sur de plus en plus de modèles climatiques ?
  
  Auteur : Docteur Timoty BALL.    Presque chaque modèle de prévision climatique, chaque projection, ou  quelque soit le nom qu'ils lui donnent est erroné. Typiquement, les  prévisions météorologiques au-delà de 72 heures se détériorent  généralement à l'intérieur de leurs marges d'erreur. C'est ainsi que les  prévisions de  l'Office Météorologique britannique  de l'été étaient fausses. Je ne mes souviens même plus du nombre de  fois où ils se sont trompés. Ils ne font pas seulement des erreurs  marginales. Sans arrêt, le temps qu'il fait est l'inverse de celui  qu'ils avaient prévu.   Les prévisions climatiques à court,  moyen et long terme sont fausse dans plus de 50% du temps de sorte  qu'une prévision correcte n'est pas autre chose qu'un événement  aléatoire. Les prévisions mondiales et régionales sont elles aussi le  plus souvent fausses. S'il existait un modèle de prévisions climatiques  climat capable de prévisions justes dans 60% des cas, tout le monde  l'utiliserait. Comme il n'existe pas de modèle de prévision climatique  assez précis, le GIEC s'arrange pour faire la moyenne des prévisions de  ses modèles, comme si, en quelque sorte, les erreurs s'annuleraient  mutuellement de sorte que la moyenne des prévisions soit représentative  de la réalité.  Les prévisions climatiques à court terme ne valent pas mieux que celles de l'Almanach des anciens agriculteurs :  Les modèles climatiques et leurs prévisions ont été des échecs complets  qui auraient conduit à l'arrêt de leur utilisation dans toute autre  entreprise. Sauf, bien sûr, dans le cas d'un fiasco financé par le  gouvernement. Les prévisions météorologiques quotidiennes ont commencé à  s'améliorer à partir de la première guerre mondiale. Toutefois, même  les prévisions climatiques à court terme ne semblent pas meilleures que  celles de l'Almanach des anciens agriculteurs apparu en 1792, qui  utilisait la lune, le soleil, et d'autres indicateurs astronomiques et  terrestres.   « J'ai  écrit et souvent parlé du rôle des modèles qui créent et perpétue le  mythe catastrophique du réchauffement global anthropologique (AGW). Les  gens ont été choqués par les courriels accablant de l'Unité de Recherche  Climatique (CRU), mais la majorité ignore que les instructions pour  "masquer la baisse" dans la partie de la crosse de hockey issue des  anneaux de croissance des arbres sont dans le  code informatique.  C'est l'une des raisons qui fait que les gens assimilent les  fluctuations à l'entrée ou à la sortie du modèle climatique informatique  à un acronyme évangélique ».   
   Je suis fatigué de ces  perpétuelles affirmations selon lesquelles les modèles climatiques  peuvent fournir des prévisions correctes dans un système chaotique. La  vérité c'est que les modèles climatiques ne fonctionnent pas et ne  peuvent pas fonctionner correctement pour de nombreuses raisons, y  compris les plus fondamentales : le manque de données, le manque de  connaissance des processus physiques de base, l'incapacité des modèles  climatiques à traduire fidèlement en formules mathématiques les  phénomènes physiques comme la turbulence de l'air ainsi que  l'insuffisance de capacité des ordinateurs. 
   Bob Tisdale a  résumé ces problèmes dans son livre publié en 2013 « L'échec des  modèles de prévisions climatiques ». Le moment est venu de cesser de  gaspiller de l'argent et de perdre du temps dans ce domaine et  d'affecter les chercheurs et les ordinateurs à des tâches plus  importantes. 
  La seule chose qui pousse les gens à travailler  sur les modèles de prévisions climatiques est le financement  gouvernemental dans les bureaux de la météo ou à l'université. Sans ce  financement, le GIEC n'existerait pas. Bien des gens impliqués dans la  modélisation du climat n'ont aucune connaissance ni aucune formation en  climatologie ou en science du climat. C'était des diplômés en  programmation informatique à la recherche d'opportunités d'accès à de  très hauts budgets et à de puissants ordinateurs. 
   Quand  l'atmosphère et plus tard les océans étaient étudiés séparément, ça  pouvait se concevoir. Mais maintenant qu'ils ont mis les deux ensembles  on abouti au fiasco. Malheureusement cela fait supporter des charges  énormes aux contribuables. Ces charges incluent non seulement les  ordinateurs et les nombreuses heures de modélisation, mais aussi le coût  pharaonique de l'application de résultats faux pour l'organisation  mondiale de la gestion de l'énergie et pour la préservation de notre  environnement. 
   Arrêtons ces simagrées et toute cette  perte de temps et d'argent. Coupons tous les financements et plus  personne ne dépensera l'argent des contribuables à travailler sur des  modèles de prévisions climatiques. 
   Il m'est arrivé de  prétendre qu'il pouvait y avoir quelque gain à s'amuser a concevoir des  modèles de prévision climatiques en laboratoire avec un seul  scientifique responsable de la précision, de la faisabilité et de  l'applicabilité. Mais il est clair qu'ils n'atteignent pas leurs  objectifs. Aussi, maintenant je me rends compte que cette proposition  est mauvaise. Quand les résultats des modèles climatiques sont utilisés  pour forger les politiques gouvernementales, il n'y a aucun gain. Par  contre, il y a un coût phénoménal à la charge de la société en pure  perte, correspondant aux frais de fonctionnement du GIEC, tout  spécialement prévu pour empocher cet argent. 
   Le GIEC a  toutefois un petit avantage. Il démontre la réalité des  dysfonctionnements exposés dans les commentaires ci-dessus. Les modèles  de prévisions climatiques sont manipulés dès leur sortie des  laboratoires en dehors de toute rigueur scientifique dans les bureaux de  la météorologie nationale ou à l'université, et deviennent ainsi les  fondements des décisions politiques des hauts responsables des états à  travers les rapports qu'ils reçoivent. 
  Un autre avantage des  rapports du GIEC est qu'ils fournissent une liste détaillée des raisons  pour lesquelles les modèles ne peuvent pas fonctionner et ne le  pourront pas. Dommage que peu de gens les lisent ou cherchent à les  comprendre. S'ils le faisaient, ils découvriraient les contraintes qui  interdisent toute chance de succès. Juste un examen partiel le démontre.  
 
  Données :  Les gens du GIEC  connaissaient les limites de données initiales dès le début, mais cela  ne les empêcha pas de poursuivre la construction des modèles de  prévisions climatiques. 
   En 1993, Stephen Schneider, un des  promoteurs de l'hypothèse du réchauffement climatique d'origine  anthropique et de l'utilisation de modèles passa du doute à la certitude  quand il déclara : 
     « L'importance de l'incertitude pesant sur les résultats en retour de  ces mécanismes est une raison pour laquelle l'objectif ultime de la  modélisation climatique – la prévision fiable des variables clefs telles  que les températures et les précipitations – est irréalisable ».   
   Un rapport du 3 février, 1999 Conseil national de recherches des Etats-Unis d'Amérique déclare : 
    « Les lacunes dans l'exactitude, la qualité et le suivi des enregistrements font naître des doutes importants quand à la confiance que l'on peut attribuer aux résultats de ces recherches ».       Ce à quoi Kevin Trenberth répondit : 
    « Il est tout à fait clair que nous ne disposons pas d'un système d'observation climatique fiable … .Ca pourrait provoquer un choc pour beaucoup de gens persuadés que nous savons de manière adéquate ce qui se passe avec le climat, alors que non ».     Deux directeurs du CRU, Tom Wigley, and Phil Jones dirent : 
 
  « Un très grand nombre d'incertitudes entourant les causes du changement climatique ne seront jamais levées parce que les données nécessaires manquent ».     70% de la surface du globe est couverte par des océans quasiment dépourvue de stations de relevés météorologiques. Les  pôles sont des zones essentielles dans la dynamique de la circulation  atmosphérique et dans la création du climat et il n'y a encore quasiment  aucune station météorologique dans 15 millions de km2 de l'océan  Arctique ni dans les 14 millions de km2 de l'Antarctique. Environ 85% de  la surface ne dispose d'aucune donnée météorologique. Le GIEC reconnaît  ces limites en affirmant que les relevés d'une seule station sont  représentatifs des conditions régnant dans un rayon de 1200 km. Est-ce  une hypothèse valable? Je ne le pense pas. 
  Mais ce n'est pas  seulement un manque de données climatiques à la surface du globe. En  fait il ne s'agit pas de données climatiques en surface, mais pour une  gamme d'altitudes au dessus de la surface entre 1,25 et 2 mètres et  comme les chercheurs depuis Geiger (Le Climat près du sol) on  montré qu'elles sont nettement différentes des températures vraies  mesurées par les quelques stations microclimatiques existantes. On peut  prétendre que les stations météorologiques américaines sont les  meilleures, mais l'étude produite par Anthony Watts montre que seulement  7,9% des stations météorologiques ont une précision de moins de 1%.  (Figure 1). Pour mettre cela en perspective, dans le rapport du GIEC de  2001, Jones déclara qu'une augmentation de 0,6 °C sur 120 ans était au  dessus des valeurs naturelles. Ceci souligne le fait que la plupart des  températures enregistrées sont mesurées à 0,5°C près. 
 
 Figure 1
   Les  autres données de base telles que les précipitations, la pression  barométrique, la vitesse et la direction du vent sont encore plus  fausses que les données des températures. Par exemple, dans toute  l'Afrique il y a seulement 1152 stations météorologiques qui ne  représentent qu'un huitième de la densité minimale requise par  l'Organisation Météorologique Mondiale (ONM). Comme je l'ao mentionné  dans un précédent article, le manque de données pour toutes les phases  du cycle de l'eau garantit l'échec des prévisions du GIEC. 
  Les  modèles de prévisions météorologiques cherchent à simuler une  atmosphère en trois dimensions, mais il n'y a pratiquement aucune mesure  faite au dessus de la surface. Les producteurs de modèles pensent que  nous sommes assez stupides pour croire l'argument selon lequel  l'existence de plusieurs niveaux dans le modèle va résoudre le problème,  mais c'est illusoire puisque nous n'avons pas les mesures  correspondantes. 
 
  Les mécanismes principaux : Pendant  ma carrière de climatologue, plusieurs mécanismes météorologiques et  climatiques ont été découvert ou mesurés, soi-disant avec une précision  suffisante pour une application dans un modèle. Ceux-ci comprennent, El  Nino / La Nina (ENSO), l'Oscillation Décennale du Pacifique (ODP),  l'Oscillation Multidecennale Atlantique(OMA), l'oscillation antarctique  (OAA), l'Oscillation Nord-Atlantique (ONA), la Dansgaard-Oeschger  Oscillation (DO), l'Oscillation Madden-Julian (OMJ), le Dipôle de  l'Océan Indien dipôle (DOI), entre autres. 
 
  L'effet Milankovitch non inclus dans les modèles du GIEC :    Malgré cela, nous maîtrisons mal les mécanismes associés à la cellule  de Hadley et à la Zone de Convergence Inter-Tropicale (ZCIT), qui sont  représentatifs de l'ensemble des mécanismes du climat tropical. L'effet  Milankovitch reste controversé et n'est pas pris en compte dans les  modèles du GIEC. La théorie cosmique semble apporter une réponse à la  relation entre les taches solaires, la température mondiale, et les  précipitations, mais elle est ignorée elle aussi par le GIEC. Ils ne  traitent pas avec le mécanisme de la mousson bien qu'ils mentionnent : 
    « En bref, la plupart des modèles ne simulent pas avec précision la variation spatiale ou intra-saisonnière des précipitations des mousson ».   
    Il y a une connaissance très limitée des principales circulations  océaniques en surface et dans les profondeurs. Il n'y a pratiquement  aucune mesure des quantités de chaleur transférée ou de leurs évolutions  dans le temps, y compris les mesures de chaleur géothermique. 
 
  Mécanismes physiques :  Le GIEC reconnaît que : 
 
  « Dans la recherche et la modélisation climatiques, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que la prédiction à long terme des futurs états climat n'est pas possible ».   
  Cette  prise de position suffit pour plaider en faveur de l'arrêt de cette  perte de temps et d'argent. Elle se trouve confirmée par le second cas  traité par Essex et McKitrick dans leur rapport « Pris par la tempète »
  La  recherche climatique est tout sauf une application systématique des  théories classiques comme la mécanique des fluides par exemple, même si  certains peuvent être tentés de le penser. Elle doit être classée en  partie dans la catégorie des problèmes scientifiques « exotiques »,  parce que nous nous efforçons à chercher une structure scientifiquement  crédible que personne ne peut voir ou n'a jamais vu, et qui peut même ne  pas exister. 
 
  « À cet égard, il est essentiel de garder à l'esprit qu'il n'existe pas de station expérimentale pour le climat mondial,  de sorte que nous en sommes aux principes élémentaires de base ce cette  connaissance. Vous pouvez faire toutes les mesures que vous voulez,  remplir des téraoctets d'espace disque si vous voulez, mais ça ne vaut rien comme  moyen d'essai expérimental. Des appareils sophistiqués peuvent être mis  en oeuvre et ceux qui les pilotent peuvent faire des mesures sur toutes  les variables connues sur une gamme de conditions physiques associées.  En revanche nous devons seulement échantillonner le climat quotidien à  condition que nous soyons assez lucides pour seulement comprendre  comment faire la moyenne d'une petite quantité de données d'une manière  suffisamment significative pour représenter le climat. En bref, le climat mondial est pas traitable par tous moyens classiques ».   
 
  Capacité des ordinateurs : Les  concepteurs de modèles de prévisions climatiques prétendent que les  ordinateurs s'améliorent sans cesse et qu'il leur faut toujours des  ordinateurs plus gros et plus rapides. Ca ne les émeut pas et ils  continuent à gaspiller l'argent. En 2012, la société Cray produisit le  supercalculateur baptisé GEA (Figure 2). Il a une capacité de 1,1  petaflops. (FLOPS veut dire Opérations en virgules flottantes Par  Seconde, et PETA signifie 1015 ou le milliard de millions d'opérations en virgule flottante par seconde). Jagadish Shukla dit que le défi est : 
 
  « Nous devons être en mesure d'exécuter les modèles climatiques à la même résolution que les modèles de prévision du temps, ce qui peut avoir des résolutions horizontales de 3-5 km dans les 5 prochaines années. Cela nécessitera des ordinateurs avec une capacité maximale d'environ 100 petaflops ».   
  Quelle  que soit la puissance de l'ordinateur, il est sans signification tant  qu'on n'y introduit pas les valeurs exactes du modèle.  
 Figure 2: Super calculateur Cray Gaea avec image environnementale. 
 
   Mauvaises prévisions (prédictions, projections) : La figure 3 montre les prévisions fausses du GIEC. Ils les appellent des projections, mais le public croit que ce sont des prévisions.  Quoi qu'il en soit, elles sont toujours fausses. Remarquez les  étiquettes ajoutées au graphe de Hayden tirées du sommaire à l'attention  des décideurs politiques. Comme la marge d'erreur augmente dans les  données réelles du sommaire, le GIEC prétend que la précision  s'améliore. Un des modèles informatiques utilisés pour les prévisions du  GIEC appartient à Environnement Canada. Leurs prévisions sont les pires  de tous ces résultats moyens utilisés par le GIEC (Figure 4).
 
  La catastrophe canadienne n'est pas surprenante comme l'indique leur  prévision à un an l'indique. Ils font une prévision annuelle et  fournissent une carte indiquant le pourcentage de précision par rapport à  la moyenne pour la période 1981 à 2010 (figure 5).  
   Figure 5      Le pourcentage moyen de précision pour le Canada est indiqué en bas à  gauche pour 41,5 pour cent. Voilà la meilleure valeur qu'ils peuvent  atteindre après quelques trente années de développement des modèles de  prévisions climatiques ! Pour les autres pays du globe, les résultats ne  sont pas meilleurs. 
   Dans un rapport du « New Scientist », Tim Palmer, l'un des principaux modélisateur du climat au Centre  européen de prévision météorologique à moyen terme de Reading England a  dit: 
 
  « Je ne veux pas torpiller le GIEC, mais ses prévisions, en particulier pour les changements climatiques régionaux, sont extrêmement incertains ».   
  Le coût du GIEC : "La somme actuellement dépenséedoit être bien supérieure à 100 milliards de dollars" :
  Joanne Nova a fait la plupart des recherches sur le coût de la recherche climatique pour le gouvernement américain. 
 
  « Au total, au cours des 20 dernières années, à la fin de l'exercice 2009, le gouvernement américain leur aura versé 32 milliards de dollars pour la recherche sur le climat et 36 autres milliards pour le développement des technologies liées au climat. Ce sont des dollars constants, obtenus à partir des rapports du gouvernement, et non ajustées pour tenir compte de l'inflation. Ils ne prennent pas en compte les financements obtenus d'autres gouvernements. Le total réel final ne peut qu'être supérieur et grossir encore ».   
  Il  ne fait aucun doute que cette valeur a augmenté, et le total mondial  est susceptible de doubler le montant des États-Unis que le commentateur  ci-dessus a déclaré. 
 
  « Cependant, je peux ajouter au moins un demi milliard de livres aux 79 milliards de dollars déclarés par Joanne Nova, auxquels il convient d'ajouter 1,9 milliards d'euros du programme cadre de l'Union Européenne (UE 7) pour la recherche sur le changement climatique direct. Le programme Cadre 6 est de l'ordre de 769 Millions d'euros. Si nous prenons en compte tous les pays de l'Annexe 1, la somme dépensée actuellement doit être bien supérieure à 100 milliards de dollars $».   
  Ces  coûts ne représentent que le coût de la modélisation informatique. Les  coûts économiques et sociaux sont beaucoup plus élevés et pratiquement  impossible à calculer. Comme l'explique Paul Driessen : 
 
  « Comme pour ses homologues polaires, 90% de l'iceberg du financement du Titanic-Climatique est absolument invisible pour la plupart des citoyens, des hommes d'affaires et des politiciens ».   
   Il n'est pas étonnant que Larry Bell put dire : 
    « Le  Government Accounting Office (GAO) américain ne peut pas comprendre  quels avantages les contribuables reçoivent de tous ces milliards de  dollars dépensés chaque année pour des études visant prétendument à  lutter contre le changement climatique ».   
  S'il  est impossible pour un organisme supposé sophistiqué comme le GAO  américain pour déterminer les coûts, alors il n'y a aucun espoir pour  obtenir un jour une évaluation pour l'ensemble de la planète. On peut  donc penser sans trop se tromper que le coût direct se mesure enmilliers de milliards dedollars.  Cela ne comprend pas les occasions perdues pour le développement et la  vie continue dans la pauvreté. Tout cela à cause des résultats falsifiés  de prédictions, de projections, ou autres noms, issues de modèles  informatiques totalement défaillants
   N'est-il pas temps  d'arrêter la folie, qui, dans la science du climat, consiste à créer  sans cesse, encore et encore des modèles informatiques qui ne  fonctionnent pas et ne fonctionneront jamais ? 
   Pour ma part, je pense que oui ! 
 
  « Ceux qui ont le savoir ne font pas de prédictions. Ceux qui font des prédictions n'ont pas le savoir »    
 Lao Tzu, 6ème siècle avant JC
  
  Site du Dr Ball :  http://drtimball.com/Carrière : 1996 à maintenant - Environnementaliste, Conférencier, consultant, auteur, chroniqueur.  1988-1996 Professeur, Université de Winnipeg  1984-1988 professeur agrégé, Université de Winnipeg  De 1982 à 1984 Professeur adjoint, Université de Winnipeg  1977-1978 doyen intérimaire des étudiants  1972-1982 Maître de conférences, Département de géographie, Université de Winnipeg  De 1971 à 1972 Instructeur, Département de Géographie, Université de Winnipeg  Dr Ball est l'auteur de plus de 80 publications importantes.  Voir la liste ici: http://drtimball.com/_files/dr-tim-ball-CV.pdf
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